Dés le départ du train, je réussis à me calmer. Je ne tremblais plus... Je ne voulais rien laisser au hasard.
Pas question de livrer mes états d'âmes aux compagnons de voyage qui occupaient ce compartiment.
Sur les marchés hautement sensoriels, aux parfums ignorés de mon univers, se promène une foule bigarrée... Des femmes élégamment parées, les cheveux tressés parfois ornés de fleurs ou de coquillages, irradient d'exotisme.
Elle ferme les yeux, persuadée que son imagination fertile dévore la réalité. Elle marche, le visage baissé. Une lueur blanchâtre éclaire le sol. L'être fantomatique l'emprisonne de son pouvoir ! Louise craint l'hypnose... Soudain le ciel menaçant se crible de nuages aux formes fantastiques !
Aussitôt, je confie à la police, tous les clichés numériques pris lors de la corrida, car Francine figure sur certains d'entre eux.
Grâce à un logiciel sophistiqué, un expert examine la pierre et l'authentifie comme étant, probablement, la même que celle trouvée à notre domicile.