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Après une grande tournée en France qui les aura vu assurer la première partie de Tryo à Bercy, le groupe Boulevard des Airs revient avec un second opus abouti et prometteur qui fait suite à ''Paris-Buenos Aires'' parus en 2011.

L'auteur-compositeur et musicien est de retour avec un sixième album, entièrement produit par lui-même. Un retour aux sources entre blues et folk, où sa voix limpide renoue avec la simplicité et le dépouillement sonore des débuts. Des choeurs entêtants de Persona non grata à L'amour à nos chevets, le disque raconte une quête personnelle tout en évoquant les méandres kafkaïens de notre société et la course à la consommation.

En 1977 il projetait de réaliser un nouvel album constitué de 21 nouvelles Fleurs du mal. Après avoir été repoussé à l'année 1978, cet album ne sera jamais réalisé. Fidèle à son habitude, le poète avait enregistré chez lui, ce qu'il est convenu d'appeler dans le jargon du métier, les 'mises à plat' voix et piano de ces 21 titres. Ce sont ces enregistrements que nous vous proposons ici.

Entouré de ses complices Marie Bastide, Paul Ecole et Pierre Riess aux textes et de Florent Marchet ou de son frère Gioacchino à la composition, l'immense mélodiste qu'est Calogero nous propose son septième album solo.

Mylène Farmer a investi Paris La Défense Arena, la plus grande salle d'Europe, pour neuf concerts exceptionnels. Ce live événement de Mylène Farmer est proposé aux formats double CD, double CD collector et triple vinyle gatefold.

Après une carrière déjà longue, parfois cabossée, Miossec surprend et nous séduit avec classe à nouveau avec ce dixième album, opus lumineux où une certaine simplicité d'artifice s'accompagne d'une élégance juste et d'une grande plume. Il continue sa quête d'essentiel, d'épure, rien ici n'est bavard ou gratuit. On est sur l'émotion humaine "à la pointe du couteau". On écoute et on lit souvent entre les lignes...

Si Charlélie promène à travers le monde un blues poétique rempli d'humour et de lucidité depuis trente ans, alors on n'a pas vu le temps passer ! Peintre, écrivain et chanteur inclassable, c'est un artiste dans la pleine acceptation du terme. Il fait partie des "icônes" d'une certaine chanson-rock littéraire traversant les décennies avec l'élégance incontestable des grands hommes discrets. Il faut l'avoir vu sur scène pour comprendre le magnétisme qui émane de ses concerts. Harmonies jazz, blues ironiques, rock steady ou folk non-conformiste, depuis le mythique Poèmes rock, il raconte des histoires, farcies de double-sens et de métaphores électriques. Avec une énergie régénérée encore lors de son installation à New York, puis en Louisiane à Lafayette, Charlelie Couture continue de nous "en-chanter" avec ses textes "hallucinématographiques" sur des mid-tempos qui vous mettent l'âme et le coeur en mouvement.

Avec plus de 800 000 albums vendus depuis 2014, Vianney, récompensé aux Victoires de la Musique en 2016 et en 2017, s'est imposé comme un artiste incontournable. Fer de lance de la variété française actuelle, il écrit et compose également pour d'autres artistes tels que Patrick Bruel, Kendji Girac, Erza ou Black M. Place désormais aux nouvelles compositions originales telles que les singles N'attendons pas et Beau-papa.

Après plusieurs années de silence et quatre albums, Pauline Croze revient avec sa désarmante douceur et son timbre de voix intact. Elle nous livre Ne rien faire. Elle s'est entourée de Charles Souchon (Ours) et de Romain Preuss (Scotch And Sofa) sous le regard complice du réalisateur Marlon B. C'est après les avoir vus sur scène dans leurs univers respectifs qu'elle décide de leur confier la réalisation afin de trouver le mariage subtil entre pop, chanson et musique africaine. Ne rien faire est empreint d'une forte musicalité qui laisse toutefois leurs places à des textes poétiques et sobres. Une artiste exigeante et plurielle à découvrir ou re-découvrir !

On a souvent parlé de son esprit brillant, de son goût pour la littérature, la poésie, la vérité des choses derrière les apparences. Mais Belin est aussi une silhouette, un profil, un regard, une présence. Comme un genre de Corto Maltese, dont le quatrième album Parcs est à ce jour la plus belle des aventures. Douze chansons qui s'inscrivent parfaitement dans la discographie et le style de Bertrand Belin - voix basse, poésie économe et mots choisis, souvenirs de paysages musicaux américains - tout en accueillant la pop, tout en s'abandonnant au vertige. Parcs est un album d'aube rougeoyante, de lumières mouvantes, d'arrangements comme des étoiles qui scintillent.

Au départ, il y avait le charme. Le charme d'un couple sur scène, beau et sincère, dans l'amour du chant, de la musique, de l'écriture, du partage et ... dans l'amour tout court. Osmose. Et eux qui disaient à lui : "qu'est-ce qu'elle chante bien". Et eux qui disaient à elle : "qu'est-ce qu'il est drôle". Et puis est venu l'osmose dans l'écriture. Des chansons à quatre mains où les voix se répondent, s'harmonisent, donnant un répertoire riche et varié. On se fait la coute échelle pour aller plus haut, ensemble. Et au final, ça n'est plus elle et lui, mais un tout. Cohérent. Dans cet album, l'osmose est au summum. Bien sûr, l'un démarre avec un texte, l'autre avec une mélodie, mais très vite les deux voix et les quatre mains se mettent au travail, ensemble. Et comme il faut que ça ne ressemble vraiment à personne, elle a la voix qui brille, il a le sourire profond, et ensemble ils transportent les coeurs.

Bertrand Belin, c'est d'abord une voix. Grave et lente, douce et entêtante. Une voix qui se refuse aux grands effets et s'élève pour s'insinuer en vous lentement et durablement. Ce sont aussi des mots dont l'homme use comme de biens précieux, cherchant toujours à leur conférer le plus de relief et de résonance possible. Ce sont aussi des musiques qui oscillent avec élégance entre le folk et le rock. Cette voix, ces mots et ces musiques forment toute sa singularité. Ce sont aussi des collaborations, dont dernièrement un duo remarqué avec le groupe de garage désormais culte, The Liminanas. Persona est le sixième album de Bertrand Belin. Persona n'est pas une chanson de l'album mais le rassemble, le lie. Persona embrasse. Mais quoi, mais qui ? Comme toujours chez Bertrand Belin, on entrevoit des solitudes, des ruptures, des départs, des déclassements, thèmes totémiques. Laissant davantage de place aux synthés, l'homme cultive son verbe et son songwriting si singuliers sur ce disque, d'une richesse et d'une classe folles.