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En 1642, Ariane, Germain et Beau reviennent d'un long périple sur le continent nord-américain. Provoquée en duel par le vicomte de Roquefeuille, la jeune femme l'éconduit. En attendant que la situation parisienne se calme, les trois compagnons se rendent à Fougy. Ariane découvre peu à peu que sa fille, Ninon, a survécu malgré les conditions désastreuses de sa naissance.

Arno Ixks, professeur d'ethno-archéologie, est chargé par Hitler de prouver l'existence d'une race supérieure. Accompagné de Palden, une tueuse, il se rend dans l'Himalaya où s'ouvrirait l'un des rares accès à l'Agartha.

La duchesse Anastasia se rétablit lentement de ses blessures chez le loyaliste Félix Volodine, devenu colonel, éperdument amoureux. Anastasia doit rester discrète, car une enquête sur la tuerie survenue à la Villa Ipatiev vient d'être ordonnée. Adaptation en bande dessinée du roman publié sous le même titre.

A cause de son intervention en faveur du sous-lieutenant Bouteloup, accusé de haute trahison, la religieuse Isabelle de Ferlon est condamnée à être exécutée. Tandis que l'horreur de la guerre se poursuit, Marie Curie est envoyée sur le front pour y exploiter la radiographie mobile et soulager les blessés. Emilie, la dessinatrice des plans de l'appareil, y voit l'occasion de revoir Bouteloup.

Chirurgien militaire, Louis Bouteloup est désormais entre les mains de ses pairs. Grièvement blessé et défiguré sur le front alsacien, il peut cependant compter sur les talents de sculpteur d'Émilie pour retrouver un visage. Mis hors du cadre de l'armée, Louis est confronté aux peurs de l'arrière, aux monstrueux canons bombardant la capitale. Il découvre aussi le sentiment profond qu'il éprouve pour Émilie. Sera-t-il trop tard pour reconstruire leur vie ?

L'ultime tome de la saga.11 novembre 1918. Si les armes se taisent, les rancoeurs ne s'éteignent pas. Celle qu'entretient Dervilly à l'encontre des survivants de l'Ambulance 13 reste d'autant plus vive que l'ex-maître principal devenu inspecteur de la Sureté, a les moyens de l'exercer. Le hasard plaçant l'écaille sur son chemin, il n'aura de cesse de le harceler, jusqu'à l'envoyer passer quelques jours à la prison de la Santé. Incarcéré, l'Ecaille aggrave son cas en participant à une rixe dans laquelle un gardien est tué. C'est la peine de mort assurée. Louis Bouteloup met alors tout en oeuvre pour défendre son ancien camarade de tranchée.

Après la mort d'Émilie, Bouteloup est désespéré. Ses deux amours, son père et trop de ses amis ont été tués au cours de la Grande Guerre. Mutilé de la face et mis en disponibilité, il se sent inutile. Jusqu'au jour où le lieutenant-colonel d'Avrainville lui demande d'accompagner la folle équipée du général Jouinot-Gambetta en Orient. Louis accepte, à condition de reformer l'Ambulance 13. Au terme du voyage : Uskub, théâtre à venir de la dernière charge de la cavalerie française.

Fin septembre 1918. De retour en France, Bouteloup comprend les menaces, entre autres navales, que représente encore l'Allemagne. Mais la fin du conflit étant proche, il participe à l'offensive finale voulue par Clemenceau, en compagnie des derniers tués de la Première Guerre mondiale.

Louis-Charles Bateloup, jeune médecin commandant une ambulance hippomobile, se retrouve en première ligne, à Fleury, en décembre 1915. Mais, parce que son père est un député proche de Pétain, le jeune officier doit redoubler de vigilance.

Charles-Louis Bouteloup, chirurgien, est mis à pied par ses supérieurs et risque le conseil de guerre suite à une décision jugée cavalière. Grâce à sa soeur Isabelle, il est cependant réintégré et reprend la direction de l'ambulance 13. Ainsi, lorsque les Allemands attaquent le village de Fleury-Devant-Douaumont, l'unité brave les dangers pour venir en aide aux blessés, même ennemis.

En Février 1916, le sous-lieutenant Bouteloup et l'équipe de l'ambulance 13 sont rattachés au 56e et 59e chasseurs, les "diables bleus". Ils se retrouvent engagés au coeur des premiers combats de la bataille de Verdun. Parallèlement, Soeur Isabelle de Ferlon, est arrêtée du fait de ses origines allemandes. Clémenceau décide de la livrer à la vindicte populaire.

Le 14 mai 1610, Henri IV meurt sous les coups de couteau de Ravaillac. Son fils Louis n'ayant que 9 ans, c'est sa mère, Marie de Médicis, qui assure la régence. Les complots se multiplient...